Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice

DESHUMANISATION

Votre tâche est immense pour restaurer la Justice en France. Vous avez cru bon de préciser, dans le climat actuel : « mon ministère sera aussi celui de l’antiracisme et des droits de l’homme ».

DISCERNEMENT ;

Je vous ai entendu parler de discernement à propos des enfants de 13 ans. Moi, je constate que les juges ont droit à l’absence de discernement et, en plus, d’humanité. La constitution leur donne tous les droits dont celui de massacrer sans preuves.

DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME

Je croyais avoir des droits conformément à la déclaration des droits de l’homme compte tenu de ma longue carrière au service de la France comme militaire (42 ans). Ce n’est pas le cas malheureusement et qui plus est, sans argent nous n’avons aucun droit…

Comme le dit Éric Zemmour : « la France n’est pas le pays des droits de l’homme »

La justice est une religion : l’idéologie est reine et fait fi de l’humanité. En face on est vite relégué au niveau du matériau. Les juges ont un aplomb à toute épreuve. La chasse à l’homme est leur quotidien. Maltraitance et Diabolisation sont inacceptables. Les juges ne cultivent pas le doute, Ils devraient passer par l’exercice d’avocat avant d’entrer en fonction comme dans d’autres pays, ce qui leur donnerai de l’humanité. C’est rarement le cas.

La Justice, je l’ai vraiment connue, ayant servi la France pendant 42 ans (médaillé militaire, chevalier de l’ONM, croix du combattant et titré de la reconnaissance de la Nation). J’ai porté l’uniforme de la République et j’ai du mal à croire maintenant dans celle-ci.

Concernant l’antiracisme, j’ose espérer qu’il soit appliqué des deux côtés (tant blanc que noir ou arabe).

Concernant les droits de l’homme, j’ai fait l’expérience de l’anti-justice dans 2 affaires. Tout est en grande partie expliqué sur ce blog.

En voici les résumés succincts principaux :

Je parle ici de juges malhonnêtes et menteurs, dépourvus d’humanité régis par la haine et par leur égo surdimensionné qui n’hésitent pas à massacrer une famille en toute impunité, bien calés dans leurs fauteuils en cuir.

DÉONTOLOGIE… LA HAINE du Justiciable

Comme le faisait comprendre Oswald Baudot aux jeunes magistrats : La loi est une putain qu’on arrange à sa manière. Dépourvu d’humanité, le juge en prend acte et fait de la loi ce qu’il veut qu’elle dise sans se baser sur les faits réels et avérés.

• Un juge peut-il condamner sans preuves et ne pas tenir compte volontairement des faits réels et avérés ? Seule son idée compte. Par exemple, peut-il me condamner à rembourser la TVA d’un article acheté par un citoyen sous le prétexte du fait qu’il l’a acheté par mon intermédiaire ? Le Juge l’a pourtant fait avec les factures sous les yeux. Problème…il ne lit pas les dossiers !
• Peut-il également me faire un procès d’intention toujours sans preuve ? le cas a échu quand même.
• Un avocat, pour défendre son client, peut-il falsifier des documents, les tronquer, et en apporter d’autres n’ayant rien à voir avec l’affaire ? Vous avez dit DEONTOLOGIE ? L’ordre des avocats peut-il passer outre ma plainte en précisant qu’un avocat a tous les droits pour défendre son client ?  Vous avez dit DEONTOLOGIE ?
• Un juge a-t-il le droit d’effacer une dette d’une entreprise à mon endroit sous des prétextes fallacieux et botter en touche tous les faits avérés ? (Jugement du 14 mai 2019 sur lequel la juge Florence Vannier rejette la dette (loyer sous bail) d’une entreprise pour mon bénéfice sous le prétexte que notre maison qui a hébergé le siège social appartient à mon épouse, ainsi que la présence d’un central téléphonique important dans cette maison. Ces faits avérés constituent une somme importante due par l’entreprise à mon épouse et à moi). Conséquence de ce jugement, le liquidateur refuse de payer cette créance (24900 €).
• Etc.

POUVOIR – TERRORISME JUDICIAIRE

Tous ceux qui ont du pouvoir sont tentés d’en abuser. Il y a de quoi s’interroger sur la profession. J’en suis arrivé à mépriser les juges. Ils devraient être poursuivis disciplinairement, ce qu’ils ne sont pas malgré mes plaintes devant le CSM (conseil supérieur de la magistrature).

Mes courriers au Président de la République, au ministre de la Justice, à l’inspection générale de la Justice, au défenseur des droits, à la ligue des droits de l’homme (qui considère que le fait d’obtenir un procès équitable n’est pas un droit fondamental), aux procureurs, n’ont eu aucun effet. A vrai dire, tout ce monde s’en fout, sait l’injustice présente et regarde ailleurs.

N’ayant rien à voir avec le pénal, ces élites me déconsidèrent. Je ne conçois pas la justice de cette façon.

Le mot justice désigne une vertu, ce n’est pas le cas ici. Je ne suis qu’un numéro qu’on ignore. J’ai incarné ce qui dégoute le juge. Je comprends maintenant qu’il m’ait « baptisé » conseiller financier sans preuves pour mieux me condamner (Un avocat m’avait précisé un jour que les juges détestent les conseillers financiers, je comprends maintenant !).

Il vous faut absolument réformer la justice, j’y tiens beaucoup et m’engage à vos côtés. Comme Ministre vous êtes à même de protéger les justiciables honnêtes qui se font massacrer par des juges déloyaux et malhonnêtes et, qui plus est, impunis et protégés par le CSM. Je compare cela à du terrorisme judiciaire.

Les citoyens ne sont pas protégés comme ils le devraient. Je suis une victime du système judiciaire. Mais malheureusement ce système est figé. Certains juges font honte à la profession et j’espère qu’il y a des exceptions. J’ai entendu une fois le Juge Van Ruymbeke dire qu’il y a des juges qui font n’importe quoi…

J’ai demandé une indemnisation suite à erreurs judiciaires, je me suis adressé à un mur. J’espère vous en convaincre. Je réitère quand même cette demande. L’Etat se doit de protéger les citoyens.

Dans la négative, je demande que ces affaires soient rejugées (AKZENTA (jugement du 28 mars 2014); affaire extrêmement médiatisée, dont le Juge de première instance m’avait dédouané totalement, et NGC France. En cause les Juges DECOTTIGNY – Haguenau, LIEBER – CA Colmar et VANNIER Strasbourg).

Devrai-je faire justice moi-même si je ne suis pas écouté ? Le cas virerait au pénal, n’est-ce pas ?

Il y a tellement d’absurdités dans ces affaires que j’en pourrai élargir mes griefs.

Il est possible qu’un de vos collaborateurs jette ce courrier gênant à la poubelle mais dans le cas contraire, si vous désirez m’apporter une réponse, dans l’attente, je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’assurance de mon profond respect et me tiens à votre disposition pour apporter toutes les preuves nécessaires.